000 | 03432nam a2200265Ia 4500 | ||
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001 | 17143 | ||
005 | 20240515132804.0 | ||
010 | _a2-226-03128-6 | ||
090 | _a17143 | ||
100 | _a20230419 grey50 | ||
106 | _ar | ||
200 |
_aMoulay Ismaïl et Louis XIV _eune amitié orageuse _fYounès Nekrouf _gpréface de Michel Jobert |
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210 |
_aParis _c'Editions Albin Michel _d1987 |
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215 |
_a393 σ. _ccouv. ill. _d23 εκ. |
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320 | _aΠεριέχει βιβλιογραφικές παραπομπές και ευρετήριο | ||
330 | _aAu moment où Louis XIV commence sa guerre de Hollande, en 1672, un jeune prince alaouite accède au trône du Maroc. Tous deux vont être des monarques absolus, soucieux de parfaire leur image et leur métier de roi. Deux longs règnes de cinquante-cinq ans, parallèles autant que contrastés. Les qualités de Moulay Ismaïl, nombreuses, parce que poussées jusqu'à l'outrance, embarrassèrent historiens et chroniqueurs. Son règne, légendaire de son vivant, fut très controversé. « Les uns l'ont fait noir comme de l'encre, d'autres blanc comme neige. » Il resta, pour la plupart, « un des hommes les plus difficiles à juger ». Les puissances de l'Europe d'alors — mises à feu et à sang par les guerres louis-quatorziennes — firent antichambre à Meknès, pour obtenir du Chérif, non sans concessions, avantages commerciaux et traités de paix. Seule la politique de prestige et de grandeur de Louis XIV « ne lui en imposa point ». Les campagnes fructueuses des corsaires de Salé, et les nombreuses croisières des escadres françaises - le long des côtes marocaines - accentuèrent malentendus et différends… Moulay Ismaïl n'en demanda pas moins la main de la princesse de Conti et, en 1709, proposa à Louis XIV — désespéré — de venir avec ses troupes combattre à ses côtés les Alliés de la guerre de Succession d'Espagne. Ces événements suscitèrent intérêt et passion, défrayèrent la chronique des cours d'Europe, alimentèrent les conversations de salon, et les colonnes de la presse naissante d'alors - tels Le Mercure Galant, La Gazette de France, La Gazette de Hollande. S'appuyant sur les Mémoires de l'époque, les études ponctuelles et, surtout, les Archives de France, Younès Nekrouf nous relate ces événements, et nous restitue cette phase peu connue de la seconde moitié du XVIIe siècle. « Le résultat de ce minutieux travail est une promenade passionnante, dans un Maghreb qui se dérobait aux regards des Européens, et une saisissante plongée dans les rapports des États, entre Atlantique et Méditerranée. Les affairistes, les militaires, les diplomates s'exercent en un ballet incessant. Le clou du spectacle est, évidemment, l'ambassade du corsaire de Salé, Ben Aïcha, auprès du Roi Soleil… » (Préface de Michel Jobert.) | ||
600 |
_918571 _aIsmail _cSultan of Morocco _f(1646-1727) |
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607 |
_918572 _aΓαλλία _xΕθνικές σχέσεις _yΜαρόκκο _z17ος αι. |
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607 |
_918573 _aΜαρόκκο _xΕθνικές σχέσεις _yΓαλλία _z17ος αι. |
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676 | _a944033 | ||
701 |
_aNekrouf _bYounes _918574 |
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702 |
_918575 _aJobert _bMichel _f(1921-2002) |
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712 |
_aEditions Albin Michel _915512 |
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801 |
_aGR _bΒιβλιοθήκη Ακαδημίας Θεολογικών Σπουδών Βόλου _c20211127 _gAACR2 |
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990 |
_2ddc _cBK |